Stage pilotage

sergio a écrit:

une bonne initiative que tu proposes la si tu l'as déjà fais ce ne peut être que du bénéfice de rouler dans des chemins avec un ouvreur qui connait les difficultés.
 mais après le confinement tu va avoir de la demande 

Comme ça il pourra se reconvertir dans le négoce de spiritueux

etinag a écrit:

raid a écrit:

Pour les amateurs de boissons tourbées qui viendront en Montagne Noire, on a de la production locale 

https://www.blackmountain.fr/

J'ai même un point de vente à proximité. A goûter   

Bonne journée là : on parle moto et on se cultive 

Haaa ne le provoquez pas avec ça hein! car c'est comme avec le TT, pour le suivre...
Par contre pour transporter les liquides en moto, comment dire... des fois, il en éparpille!

Je mets un bémol sur suivre les potos qui te font l'amitié de t'emmener sur leur ballade meme facile, c est qu'ils (sauf exceptions ) ne sont pas des enseignants, donc les choses les plus basiques qui sont des evidences pour eux, tu ne les connaitras pas et tu ne prendras que de mauvaises habitudes et de l'assurance, de plus en plus et de plus en plus l'envie de les suivre, ben en fait tu ne progresseras pas vraiement.
A mon sens, le stage est indispensable pour:
 connaitre les bases
 comprendre les bases
 se faire plaisir
 progresser.

Ca fait bizarre de dire ça après tout le bonheur , le plaisir, les encouragements, les dizaines de sorties, les raids,que j'ai pu partager avec nombres de personnes de ce forum. Mais le déclic s'est fait le jour ou j'ai fait un stage d'une journée chez Airglobe a Rodez, depuis, c est clairement un cran au dessus, et je ne redoute plus les difficultés et les sorties nettement plus engagées.

Je ne regrette rien sinon de ne pas avoir fait un stage plus tôt
Bart

Ola Bart  

D'accord avec toi. Mais n'oublie pas que T007 a signalé avoir déjà pratiqué de l'enduro. Et ça pour moi c'est la meilleure des écoles, le meilleur des stage. 
Et puis le déclic de ton stage c'est justement parce que tu as pu pratiquer des années et des années sur ta 660. Une année d'enduro t'aurai apporté autant, voir beaucoup plus.

Pour le négoce de spiritueux ça n'ira pas : faillite assurée vu le rapport débit/vente négatif 

Pour ce qui est d'emmener quantité de gars comme ouvreur la je dis non tout de suite. Sauf si j'arrive à ressortir ma sortie sur 2 jours dans mes chemins. Et encore là ce sera chacun la trace et sa vitesse 

Bartoof a écrit:

Je mets un bémol sur suivre les potos qui te font l'amitié de t'emmener sur leur ballade meme facile, c est qu'ils (sauf exceptions ) ne sont pas des enseignants, donc les choses les plus basiques qui sont des evidences pour eux, tu ne les connaitras pas et tu ne prendras que de mauvaises habitudes et de l'assurance, de plus en plus et de plus en plus l'envie de les suivre, ben en fait tu ne progresseras pas vraiement.
A mon sens, le stage est indispensable pour:
 connaitre les bases
 comprendre les bases
 se faire plaisir
 progresser.

Ca fait bizarre de dire ça après tout le bonheur , le plaisir, les encouragements, les dizaines de sorties, les raids,que j'ai pu partager avec nombres de personnes de ce forum. Mais le déclic s'est fait le jour ou j'ai fait un stage d'une journée chez Airglobe a Rodez, depuis, c est clairement un cran au dessus, et je ne redoute plus les difficultés et les sorties nettement plus engagées.

Je ne regrette rien sinon de ne pas avoir fait un stage plus tôt
Bart

moi je suis d accord avec toi sur le stage rien ne le remplace.
mais la  il va faire une évaluation du gars et après il va a voir pour corrige ses défauts si il la déjà fais

Bartoof a écrit:

Je mets un bémol sur suivre les potos qui te font l'amitié de t'emmener sur leur ballade meme facile, c est qu'ils (sauf exceptions ) ne sont pas des enseignants, donc les choses les plus basiques qui sont des evidences pour eux, tu ne les connaitras pas et tu ne prendras que de mauvaises habitudes et de l'assurance, de plus en plus et de plus en plus l'envie de les suivre, ben en fait tu ne progresseras pas vraiement.
A mon sens, le stage est indispensable pour:
 connaitre les bases
 comprendre les bases
 se faire plaisir
 progresser.

Ca fait bizarre de dire ça après tout le bonheur , le plaisir, les encouragements, les dizaines de sorties, les raids,que j'ai pu partager avec nombres de personnes de ce forum. Mais le déclic s'est fait le jour ou j'ai fait un stage d'une journée chez Airglobe a Rodez, depuis, c est clairement un cran au dessus, et je ne redoute plus les difficultés et les sorties nettement plus engagées.

Je ne regrette rien sinon de ne pas avoir fait un stage plus tôt
Bart

Assez d'accord avec ça.. c'est complémentaire. 
On a beau dire, dans la pratique sportive la répétition des gestes est essentielle pour la mémoire musculaire. Bien sûr en balade on passe une petite difficulté, ça fait progresser.. un copain donne un bon conseil etc.. mais bon on va pas recommencer. 
Refaire le petit virage serré foireux en devers 50x, ça a ses limites mais ça aide aussi.. et encore plus avec un oeil avisé qui corrige les gestes 

Nener a écrit:

Bartoof a écrit:

Je mets un bémol sur suivre les potos qui te font l'amitié de t'emmener sur leur ballade meme facile, c est qu'ils (sauf exceptions ) ne sont pas des enseignants, donc les choses les plus basiques qui sont des evidences pour eux, tu ne les connaitras pas et tu ne prendras que de mauvaises habitudes et de l'assurance, de plus en plus et de plus en plus l'envie de les suivre, ben en fait tu ne progresseras pas vraiement.
A mon sens, le stage est indispensable pour:
 connaitre les bases
 comprendre les bases
 se faire plaisir
 progresser.

Ca fait bizarre de dire ça après tout le bonheur , le plaisir, les encouragements, les dizaines de sorties, les raids,que j'ai pu partager avec nombres de personnes de ce forum. Mais le déclic s'est fait le jour ou j'ai fait un stage d'une journée chez Airglobe a Rodez, depuis, c est clairement un cran au dessus, et je ne redoute plus les difficultés et les sorties nettement plus engagées.

Je ne regrette rien sinon de ne pas avoir fait un stage plus tôt
Bart

Assez d'accord avec ça.. c'est complémentaire. 
On a beau dire, dans la pratique sportive la répétition des gestes est essentielle pour la mémoire musculaire. Bien sûr en balade on passe une petite difficulté, ça fait progresser.. un copain donne un bon conseil etc.. mais bon on va pas recommencer. 
Refaire le petit virage serré foireux en devers 50x, ça a ses limites mais ça aide aussi.. et encore plus avec un oeil avisé qui corrige les gestes 

Mes deux cents ..
Avec un ajout ; Les objectifs .
Comme améliorer le passage de ce peti virage , Nener
avoir le regard ' et le recul et les connaissances du pro pour donner l'avis cironstancié qui va bien, Bart
anecdote .
Avant de partir  en Afrique, j'ai eu roulé avec des "bons" sur de la piste facile ou moins , et ai compris deux choses :
le dévers , appuyer coté aval et pas amont , comme en ski finalement
la répartition des masses debout selon descente ou montée ... qui paraissent évidentes  aujourd"hui mais pas explicites à l'époque .
De là a savoir bien le faire , tout le temps sur une machine de 200 kg....
Lors de a " reprise" en 2015 au Maroc, une partie  est revenue ... la confiance moins  mais les conseils du guide m'ont aidé et ont fait sens  .

Bon les gars vous parler quasi du plateau pour avoir le permis moto là.
On va dire que vous l'avez non ?  

Ok pour les virages et devers essayé 50X en montée comme en descente et le regard et la position sur les repose pieds et serrer les genoux etc ...

La c'est du basique qu'il faut déjà avoir en routière non ? Pour le trail et les cailloux vous allez juste devoir lever vos fesses beaucoup plus souvent et du coup prendre de la hauteur sur tout ça. Pour les pistes plates et sèches vous pourrez rester assis 

Pour contredire Bart (j'aime bien contredire Bart  ) . En enduro, sur une sortie Carpatoise, j'ai le plus progresser quand les potes (qui avaient du gros niveau), me voyant à l'agonie dans les passages extrêmes, m'ont demandé de ne plus participer au tiroir et de me coller aux fesses et à la roue du guide ( podium à la Roumaniac l'enfoiré ) : et bien ce fût plus que du bonheur! Avoir le visuel et pouvoir mimétiser son tempo il faut avouer que ça aide méchamment !

ex-xt a écrit:

le dévers , appuyer coté aval et pas amont , comme en ski finalement
la répartition des masses debout selon descente ou montée ... qui paraissent évidentes  aujourd"hui mais pas explicites à l'époque .

C'est clair que en pilotage TT, l'equilibre et l'adherence sont proches du ski 
Il faut regulierement rappeler cette analogie ...

Moi j’ai plus de facilité en montée !!!

Je rejoins Enitag sur le fait que suivre une personne avec un niveau supérieur fait progresser énormément. Je fais partie du motoclub d’Arette et on a la chance d’avoir Serges Nuques qui vient nous distiller quelques conseils de temps en temps...  il corrige les défauts en temps réel et l’évolution du pilotage sur une journée est vraiment réel. 
Mais j’ai peu d’expérience en trail avec une moto plus lourde.
Et je suis d’accord avec vous pour les similitudes par rapport au ski.

Ben64 a écrit:

Moi j’ai plus de facilité en montée !!!

Holà les furieux, je n'ai pas demandé une formation pour participer à la montée impossible.
Par contre je trouve le débat super intéressant avec des avis divergents mais néanmoins des plus subtils. Continuez à faire part de vos opinions, on arrive à s'identifier par rapport aux expériences relatées. Merci à tous les intervenants 
Par contre Etinag, ne me fait pas croire pas que tu consommes plus que tes brêles quand même. J'espère que tu tournes pas trop au mélange, tu sais que ça fait mal au casque le lendemain!!!!!!
 

T007 a écrit:

Ben64 a écrit:

Moi j’ai plus de facilité en montée !!!

Holà les furieux, je n'ai pas demandé une formation pour participer à la montée impossible.

Un petit coup de Jaja de chez "Black Moutain", ça diminue l'impression de pente avant d'attaquer la montée

...

Bon, non t'inquiete, c'est uniquement en cas d'ultime necessité 

J'ai fait un stage un WE en groupe avec Serges Nuques, chez lui. Il préparait la GLC cette année là (l'année ou il fait 3 donc il y a bien longtemps).
On était une bande plutôt randonneurs. On a commencé par un virage autour d'un piquet, j'avoue que ça m'a pas franchement emballé, après sur un terrain de cross un saut sur une table, au deuxième passage il me dit c'est bien mets plus de gaz.... à j'en ai mis...... quelle pelle . Après on lui a dit qu'on faisait pas de compète mais plus de la rando et il adapté la formation.
Par contre c'est un super mec très gentil, pas le melon et un put...n de coup de guidon, il faisait les démos de passage ça avait l'air facile, puis un passage simulé en vrac pour nous imiter . Une descente un peu chère ou beaucoup sont tombés (dont moi) il montre comment la monter, quelques un ont tenté le coup, retournement, paf dans un arbre pif dans un autre, j'y suis pas allé. il a pris un vieux DR bien fatigué pour nous prouver que ce n'est pas la moto qui monte c'est le bonhomme. Puis on a vu arriver Castera avec sa 250 yam ou il essayait un truc, il est descendu et remonté comme si c'était plat.
Bon quand je me suis mis dans un fossé, qu'il a sauté dedans devant moi et a crépis ma moto (j'ai eu juste le temps de me barrer) j'ai ris jaune. Le soir on a bien picolé pendant qu'il s'enquillait son kilo de pâtes quotidienne.
Au final j'ai pas retenu grand chose mais j'ai passé un super WE si ce n'est que ce jour là j'ai compris que je serai toujours une truffe en TT

Je suis content d'apprendre que Bart à progressé car la tourbe(ière) il aime aussi beaucoup j'ai un souvenir au MTTHP ou il était tombé dedans (tourbière) avec sa moto et il avait fallut aller le chercher   sinon il y serai encore...

Le fameux MTTHP : on s'était bien marré !!!

Après les vieux briscards qui ont commencé la moto à 12 ans si pas plus tôt (énorme avantage comme dans tous les sports), ont 30-40+ ans de bouteille et des milliers d'heures d'enduro dans les pattes.. vous pouvez pas comprendre à quel point on est mauvais.
"C'est comme au plateau mais tu te mets debout et zou". 

J'ai un avis mitigé sur la question.
Sur le stage en lui même. Les formateurs qui attirent sont souvent d'ancien champions. Or de mon point de vue, ce qui prime, ce sont les compétences pédagogiques du formateur. C'est comme dans le milieu de l'enseignement à la fac, certains pontes de la recherche sont nullissime en tant qu'enseignant. Or quand on débute, on cherche avant tout à bien comprendre. Si on veut se perfectionner pour de la compétition ou autre, là c'est différent.

L'autre point est sur le principe pédagogique des stages classiques pour débutant où l'on va voir beaucoup de choses en une journée. Le principe de base de l'apprentissage c'est de voir une notion, de la travailler un certain temps pour la maitriser suffisamment avant d'apprendre une autre notion. Infaisable en seule journée.

Ensuite, là où je mets des réserves, c'est sur le pourquoi faire un stage. Dans notre société aujourd'hui on a tendance à tout sous traité comme étant al solution miracle. Un gamin a des difficultés à l'école on l'envoi chez l'ortho mais sans jamais rien faire dans la semaine alors que l'ortho va leur expliquer que c'est de la rééducation et qu'il faut travailler. Faire un stage en se disant que l'on est bon pour y aller c'est assez illusoire.
D'ailleurs, si l'on regarde le système de formation scolaire ou profssonnel, l'écrasante majorité ne se fait pas sous forme de stage mais de formation régulière étalée sur la durée. Les stages sont de la remise à niveau, du perfectionnement ou sur un point bien précis.
Ce que je trouverais pertinent c'est une sorte d'abonnement annuel avec X séances de formations, une par thème et ensuite X ballades pour mettre en application ces notions. Bon, vu le prix des stages, là ce serait stratosphérique certainement!

Pour moi l'intérêt du truc pour un débutant c'est pour ceux qui ont peur de se lancer, peur de tomber etc. Cela peut les mettre à l'aise pour qu'ils se lancent. Là cela renvoi aux capacités pédagogiques du formateur qui sera comprendre le fonctionnement du stagiaire pour le rassurer et le mettre en confiance pour qu'il puisse progresser.

Mais il ne faut pas s'illusionner, on progresse en pratiquant et on progresse par pallier.

Un autre cas où je trouve les stages pertinents c'est quand on a bien identifié ses blocages et ce que l'on attends et de faire un stage solo sur un objectif. Je l'envisage dans mon cas pour la conduite dans le sable avec ma brêle chargée. Actuellement je passe mais je ne suis pas à l'aise, je me autre trop souvent. Donc j'aimerai travailler ce point là, mais alors cela suppose de choisir un stage où le formateur a son propre terrain avec le type de spot pour travailler ces difficultés là.

Sinon, ben suivez le maestro!!!

Ha la fameuse phrase de Stephane: 
"Avec une acceleration lineaire, ça passe..."

La célèbre phrase du JB T « si ça passait c’était beau »

Ce que je trouve pas mal dans les stage c'est que ça peut permettre de se "libérer" un peu dans sa pratique dans un cadre relativement sécurisé. Le pro vois assez bien, en général, si tu es à ta limite ou pas et peut te permettre de dépasser certaines appréhensions.
Je penses que pour poser les bases surtout avec des gros trail donner des techniques des positions c'est intéressant.
Personnellement j'ai posé le genou sur circuit la première fois lors d'un stage, ça n'a rien d'une performance ou quoi que ce soit c'est juste que je l'ai fait car je me sentais en sécurité dans ce cadre là pour le faire. Idem pour un dérapage contrôlé en TT, je l'ai fait dans le cadre d'un stage et ça m'a permis appréhender ma moto et de me sentir un peu plus en sécurité sur route et en TT par la suite.

Par contre dans ma vision des choses, il faut faire ces stage avec sa moto ou du moins une moto qu'on maitrise déjà. Si en plus du stage il faut découvrir une nouvelle moto en location j'y vois beaucoup moins d'intérêt...

xantios a écrit:

J'ai un avis mitigé sur la question.
Sur le stage en lui même. Les formateurs qui attirent sont souvent d'ancien champions. Or de mon point de vue, ce qui prime, ce sont les compétences pédagogiques du formateur. C'est comme dans le milieu de l'enseignement à la fac, certains pontes de la recherche sont nullissime en tant qu'enseignant. Or quand on débute, on cherche avant tout à bien comprendre. Si on veut se perfectionner pour de la compétition ou autre, là c'est différent.

L'autre point est sur le principe pédagogique des stages classiques pour débutant où l'on va voir beaucoup de choses en une journée. Le principe de base de l'apprentissage c'est de voir une notion, de la travailler un certain temps pour la maitriser suffisamment avant d'apprendre une autre notion. Infaisable en seule journée.

Ensuite, là où je mets des réserves, c'est sur le pourquoi faire un stage. Dans notre société aujourd'hui on a tendance à tout sous traité comme étant al solution miracle. Un gamin a des difficultés à l'école on l'envoi chez l'ortho mais sans jamais rien faire dans la semaine alors que l'ortho va leur expliquer que c'est de la rééducation et qu'il faut travailler. Faire un stage en se disant que l'on est bon pour y aller c'est assez illusoire.
D'ailleurs, si l'on regarde le système de formation scolaire ou profssonnel, l'écrasante majorité ne se fait pas sous forme de stage mais de formation régulière étalée sur la durée. Les stages sont de la remise à niveau, du perfectionnement ou sur un point bien précis.
Ce que je trouverais pertinent c'est une sorte d'abonnement annuel avec X séances de formations, une par thème et ensuite X ballades pour mettre en application ces notions. Bon, vu le prix des stages, là ce serait stratosphérique certainement!

Pour moi l'intérêt du truc pour un débutant c'est pour ceux qui ont peur de se lancer, peur de tomber etc. Cela peut les mettre à l'aise pour qu'ils se lancent. Là cela renvoi aux capacités pédagogiques du formateur qui sera comprendre le fonctionnement du stagiaire pour le rassurer et le mettre en confiance pour qu'il puisse progresser.

Mais il ne faut pas s'illusionner, on progresse en pratiquant et on progresse par pallier.

Un autre cas où je trouve les stages pertinents c'est quand on a bien identifié ses blocages et ce que l'on attends et de faire un stage solo sur un objectif. Je l'envisage dans mon cas pour la conduite dans le sable avec ma brêle chargée. Actuellement je passe mais je ne suis pas à l'aise, je me autre trop souvent. Donc j'aimerai travailler ce point là, mais alors cela suppose de choisir un stage où le formateur a son propre terrain avec le type de spot pour travailler ces difficultés là.

Sinon, ben suivez le maestro!!!

De bonnes remarques.. je te rejoins sur les stages proposés par les stars.
Perso j'ai en effet fait un stage en ayant ciblé 3-4 choses bien précises au préalable avec Pierro (Peregrine Tour, hop, pub gratuite et méritée) c'est ce qu'on a travaillé et j'en ai été très content.

Bien sûr je te suis sur la pratique sur la durée.. mais justement!
Le mec qui fait 50 sorties très engagées en enduro par an, en retournant fréquemment dans des coins qu'il "connait".. il l'a cette pratique régulière.

Par contre le traileux qui fait une grosse balade TT par mois.. à 90-95% facile/roulant.. en fait il fait quoi, une dizaine d'heure de mise en réelle difficulté par an, et encore? Une journée de stage annuelle ça double le volume.. avec l'efficacité due au "prof" et à la répétition des exercices sans l'incertitude de la reconnaissance du terrain.

On se situe tous quelque part entre les deux.. à chacun de juger. Et bien sûr le budget. j'ai rationalisé en le comparant au budget annuel moto, amortissement de la moto etc, équipements motard et moto parfois un peu superflus inclus...

Un autre cas où je trouve les stages pertinents c'est quand on a bien identifié ses blocages et ce que l'on attends et de faire un stage solo sur un objectif. Je l'envisage dans mon cas pour la conduite dans le sable avec ma brêle chargée. Actuellement je passe mais je ne suis pas à l'aise, je me autre trop souvent. Donc j'aimerai travailler ce point là, mais alors cela suppose de choisir un stage où le formateur a son propre terrain avec le type de spot pour travailler ces difficultés là.
from Xantios

Perso j'ai en effet fait un stage en ayant ciblé 3-4 choses bien précises au préalable avec Pierro (Peregrine Tour, hop, pub gratuite et méritée) c'est ce qu'on a travaillé et j'en ai été très content.
Bien sûr je te suis sur la pratique sur la durée.. mais justement!
from Nener

Escellent tout ça .
En somme prof c'est un boulot et on n'est jamais sur de réussir . copyright myself , 38 ans dont 15 de formation des autres et 4 avec des ados " spéciaux" ; et  6  senpai en zzahèmes .
Là aussi il m'arrive de faire des stage , pout découvrir des choses et rencontrer ls zanciens , mais ps d'objectif en vue .
Ah si , rester catégorie 2 dans la classification" fragiles " en vigueur.

Donc oui 100 fois : avoir des objectifs bien déterminés - ça c'est facile
s'évaluer pas trop mal , plus difficile = gap pas trop important ( nb ; la sous évaluation peut etre pire )

Pratiquer beaucoup pour la fluidité - valable pour tout
savoir pourquoi on fat ce stage ., donc pouvoir le préciser in situ .

Et éviter les "dangereuses certitudes " parce que un" bon" l'a dit , quelqu'il soit ; vu en passage de glace en rando à skis ... bilan assez lourd.

Et puis , avec 40 ou 50 ans de moto continus, on n'est pas bons on est un survivant , littéralement . Faut mieux  le rester

ursustenerix a écrit:

Le fameux MTTHP : on s'était bien marré !!!

un weekend de bécane mémorable entre potos  : les recors sous la neige avec Etienne deja un régal , l'ambiance à l'auberge , un terrain de jeu énorme , raid de nuit aussi.... y a que le varadero qui avait pas trop apprécie le 2ème jour sur les hauteurs de Luz après 2h de dodos seulement .... la bmw en photo avait été bien baptisée et son pilote aussi. ...

et Bart ds la tourbiere effectivement , je le revois encore arriver et traverser le champ  , on etait au bar en terrasse et on a tous vu la "connerie" arriver : ahhhhhhhh!

Encore merci Etienne pour ce weekend :-)

Ça a donné quoi cette dégustation ce stage perso fait maison ?