Âge "limite" pour pratiquer sainement notre activité ?...

EDN a écrit:

Pascalou a écrit:

Moi , ce qui est sur ; à te lire et en ayant bien observé la photo , c’est que là je n’y vais pas …. :(:doubleV:je pense qu’à n’importe quel âge , il faut savoir connaître ses limites ….

J'ai juste suivi les autres, de toute façon j'avais pas trop le choix

Dans ces cas là , tu es excusé quoiqu’il arrive ….limites ou pas , je suppose que tu avais peur de te perdre puisque OsmAnd et les profils Cricri avaient rendu l’âme . Heureusement pour toi , tu as retrouvé Cricri en haut de la montée 

Citation :

 

Elefantjo a écrit:

La réponse est dans ce film…!!!
https://youtu.be/02Yy1vihIKs

Adi, Ami Elefantrider !

J'ai bien sûr vu Burt Munroe, il y a plus de deux décennies... Sans d'ailleurs y trouver de réponse précise à ma question posée dans le titre de ce sujet, car même si son exploit n'est évidemment pas à la portée de tout motard, battre un record de vitesse sur un lac salé asséché n'a rien de comparable avec la condition physique qu'impose un roulage régulier en TT, surtout avec une "grosse", ne serait-ce que parce qu'on tombe... et donc qu'on relève sa brèle... moins souvent !

20 ans c’est long…!!!
Revois-le et tu y trouveras la motivation, la persévérance, le courage d’un homme que la vieillesse n’a nullement altérés…!!!
Tant que le corps fonctionne à peu près, si la tête est motivée et bien tout est permis et à tout âge…. Que ce soit on road ou off road, sur un circuit de vitesse ou une zone de trial…!!!

Dernière breizh rando tour notre doyen avait 80 ans et en CRF 300 il se portait comme un charme et a pas pris un seul morceaux de route bitumé.

Elefantjo a écrit:

(...) tant que le corps fonctionne à peu près, si la tête est motivée et bien tout est permis et à tout âge…. Que ce soit on road ou off road, sur un circuit de vitesse ou une zone de trial…!!!

 à tous.
Je doute que tu aies raison, mon ami, car quand le corps ne suit plus (ou bien seulement "en tirant la patte"  ), le mental n'est jamais d'un grand secours, excepté lors d'un bref moment de bravoure, en serrant les dents, qui tiendrait plus alors d'un baroud d'honneur, que d'une exceptionnelle renaissance après une salvatrice cure de jouvence ! 

En tous cas, le jour où je ne serai plus en mesure de manier et d'exploiter à peu près correctement en TT mes bicylindres (voire même mon mono, nettement plus léger), mais surtout de les remettre sur leurs roues après une chute, je pense - peut-être à tort ?... -, que le moment pour moi sera venu, soit de trouver une activité plus en rapport avec mes capacités physiques amoindries, mais qui me donnerait autant la banane - c'est pas gagné !  - , soit tout simplement d'arrêter la moto...  

Mais jamais je ne pourrais me contenter d'enfourcher un quart de litre insipide, qui me rendrait à coup sûr, tellement nostalgique du caractère si démonstratif de mes 900 Desmo, du 9,5 LC8, ou encore du "Big red pig" ! À suivre, et à confirmer...


La citation de Raid (au début du sujet) est très vraie :
« On n'arrête pas la moto quand on est vieux, on est vieux quand on arrête la moto. », mais je la formulerais plutôt ainsi :

« On ne cesse pas de pratiquer la moto parce qu'on devient vieux, mais on sera devenu vieux lorsqu'on arrêtera de rouler. »

Finalement, c'est peut-être bien "P'tite Fourche" qui a raison... Je lui laisse le mot de la fin. 

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Elefthería í thánatos  (Ελευθερία ή θάνατος, « La liberté ou la mort »)